In ze mood, le blog d'humeur de Dominique

oilà, M. Hollande vient d'être « adoubé » à la magistrature suprême de notre pays.

Peut-être pense-t-il comme un de mes anciens amis, qui à un moment d'un choix crucial dans sa vie, s'était dit : « tu as voulu monter sur le vélo, et bien maintenant, pédale ! »?

Puisqu'on nous en rebat les oreilles depuis maintenant une semaine, nous devrions tous savoir, je dirais même plus, nous tous devrions savoir que le second président de la République française socialiste se prénomme François comme le premier. D'où le titre de mon billet d'aujourd'hui.

Comparaison avec un souverain français qui s'arrêtera uniquement au titre, bien entendu, quoiqu'en regardant d'une oreille distraite la cérémonie d'investiture, j'ai entendu dire par un journaliste « que les gens voulaient toucher François Hollande »? Pour qu'il les guérisse des écrouelles peut-être ?

Plus sérieusement, et bien que je n'aie pas « roulé » pour ce candidat, je lui souhaite quand même que le parallèle s'arrête là?

En effet, ce souverain (1544 - 1560) n'a régné que 17 mois, et, contrairement à son aïeul François Ier, son règne n'a été marqué que par des désordres intérieurs et la misère.

Quoiqu'ici encore on pourrait voir un signe dans le seul événement positif dans la vie de François II, et que tous les écoliers locaux devraient connaître : la paix du Cateau-Cambrésis qui entérina la fin de l'état de guerre avec l'empire des Habsbourg?

À quelques heures de la rencontre avec Mme Merkel, cela est de bonne augure?