In ze mood, le blog d'humeur de Dominique

oujours dans le cadre de l'affaire précitée, même si elle ne nous nous obsède pas, nous enquiquine quand même un peu...

Ce n'est déjà pas marrant, mais lorsque les as de l'expertise se mettent à faire de l'obstruction, alors là, cela devient intolérable...

Conscients du danger que représente la grille actuellement (elle ne tient plus que par ses deux charnières du haut), nous essayons de faire en sorte d'accélérer les choses auprès de l'assurance. Cette fois-ci rien à dire sur celle-ci, le représentant local a fait son boulot, et samedi nous avons reçu une lettre du cabinet d'expertise nous avertissant qu'il venait d'être missionné pour évaluer les dégâts. Dès hier nous les appelions pour convenir d'un rendez-vous.

Après trois quarts d'heure d'attente musicale, et des ruses de Sioux pour obtenir enfin un correspondant, nous sommes tombés sur la même « gracieuse » de service que la semaine dernière, qui nous a morigénés, en nous rappelant que pour permettre l'expertise de la partie adverse, il était nécessaire d'attendre 25 jours. Nous notons au passage que ce délai a subi entre-temps une inflation de quatre jours...

Comme le représentant Shadok ci-contre, et à l'instar des grands-parents de Jacques Brel, qui « ne pensaient pas, ou pensaient peu », cette employée avait du mal à « percuter » sur le fait qu'il y avait pas d'assurance adverse, puisque le chauffard n'était pas assuré.

Très peu convaincue, la suite de la conversation a alors tourné au psychodrame quand il s'est agi de trouver un jour et une heure pour un rendez-vous... Souhaitant privilégier un horaire plutôt en fin de journée, nous nous sommes entendus dire « après 17 heures, vous n'y pensez pas... Notre expert termine à cette heure-là, et il doit ensuite rentrer chez lui à Villeneuve-d'Ascq... ». Toute discussion a alors été close, puisque cette virago a fini par nous raccrocher au nez...

Il m'est arrivé il y a quelques mois de brocarder les horaires des fonctionnaires. Je dois dire qu'ici, puisque nous avons affaire à une entreprise privée, nous atteignons « le sublime »... Alors que mon épouse, qui elle, est fonctionnaire, lorsqu'elle a une réunion de travail dans la métropole lilloise à 8:30, commence effectivement sa journée à 7:30, ou la termine parfois après 19:00, un petit monsieur « je me la pète en costume de cuir », n'a aucun scrupule à faire perdurer une situation dangereuse, parce que « avant l'heure c'est pas l'heure, et après l'heure, c'est plus l'heure... »...

À moins qu'il ne soit un adepte de Mme Aubry et de ses 35 heures, plus que de M. Sarkozy avec « travailler plus pour gagner plus » !

Et le plus pire, comme aurait dit quelqu'un que je connaissais bien, c'est que nous payons ces gens-là dans nos primes d'assurance...