In ze mood, le blog d'humeur de Dominique

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Vive le roi !...

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I

l y a parfois des coïncidences extraordinaires.

Ainsi, hier nous étions le jour de l'Épiphanie. Épiphanie en grec cela veut dire « apparition ». Cette fête chrétienne commémore l'apparition « humaine » ou l'incarnation de Jésus. Celle-ci se manifeste dans l'Évangile de Mathieu par la venue et l'adoration des mages venus offrir l'or, l'encens et la myrrhe. À noter que dans cette parabole ils n'étaient pas plus rois que je ne suis nonce apostolique.

C'est la tradition, et la culture populaire qui les ont assimilés à des rois, et à la tradition de la galette et de la fève, qui elles, nous viennent du plus profond de la civilisation romaine. Un peu comme la fête de Noël est venue se superposer aux fêtes païennes de l'entrée en hiver.

Or, fin de semaine dernière, j'ai appris qu'un membre de ma belle-famille s'était permis devant un tiers de me « tailler un costume » en mettant en doute mon honnêteté et mes capacités intellectuelles.

Rassurez-vous, ceci ne m'a pas affecté plus que de raison.

En effet, et j'en viens à mon sujet, cet « intéressant personnage », comme aurait dit mon grand-père, a toujours été pour moi bouffi d'infatuité, de prétention et de mépris vis-à-vis des autres qui ne représentent pour lui que des bouseux indignes de lui adresser la parole, et depuis longtemps je lui ai attribué le sobriquet de J... Leroidec, pour reprendre le célèbre calembour de mon génial maître soixante-trois, Pierre Dac... Et croyez-moi, cet état d'esprit ne date pas de la dernière pluie...

Donc, pour reprendre un cliché, « je prends cela de qui ça vient »... Je reconnais être beaucoup plus affecté par l'abandon de ceux qui se disaient être mes amis et qui m'ont laissé tomber comme une vieille chaussette lorsque les effets de mon état de santé ont commencé à me poser problème...

Pour en revenir à Monsieur J... Leroidec, inutile donc pour lui de croquer dans une croustillante galette pour y trouver la fève, son règne lui est complètement assuré.

Pour lui, et tous ses... congénères, je leur dédie bien volontiers cette chanson du non moins génial Georges Brassens :

À bon entendeur, salut !



09/01/2012
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