Que dire de plus ?
Les grandes douleurs sont muettes dit-on.
Socialement et politiquement tout a ?t? dit sur cet attentat qu’en ce d?but du XXIe si?cle j’oserais qualifier de ? surr?aliste ?.
Personnellement je n’ai pu m’emp?cher de pleurer physiquement sur la disparition de Cabu et de Wolinski. ? un moment o? ? j’ai plut?t le moral dans les chaussettes ?, voir ainsi dispara?tre d’une mani?re horrible deux dessinateurs qui ont marqu? le temps aujourd’hui b?ni de mon adolescence, c’est plus que la raison peut accepter. Voil? ce que j’avais ? dire.
Nous sommes Charlie.
Retour aux articles de la catégorie Archives -