La démocratie, c’est comme les pommes de terre frites…
Tous ceux qui me font l’honneur de me suivre sur le présent blog, depuis plusieurs années pour certains, savent qu’ils ont la possibilité de déposer un commentaire, bienveillant ou non, en bas de tous mes billets. En outre, toute mise en ligne de chacun d’entre eux est systématiquement reliée sur le réseau social Facebook où le statut que j’ai choisi permet à quiconque de le commenter également. C’est ce qu’on appelle respecter la liberté d’expression et permettre d’ouvrir un débat.
Certains le font également, d’autres, malheureusement plus nombreux, non.
Bon, quand il s’agit de citoyens ordinaires qui font de la provocation en se « carapatant » dès qu’on fait mine de les contredire, philosophiquement et démocratiquement cela ne prête pas de trop à conséquence. Pour utiliser un langage populaire, « on prend cela d’où ça vient… ».
Mais, là où ça devient plus grave, c’est quand un édile sambrien mettant en avant sa fonction d’élu pour entretenir un blog, pratique systématiquement le déni de tout commentaire sur celui-ci ou sur un réseau social. À lui la possibilité de présenter (parfois trop souvent) des billevesées ou des attaques sans laisser la possibilité de réagir. Et pourtant, la démocratie c’est son cheval de bataille, son dada.
Preuve que la réciproque de l’ancien slogan publicitaire d’un géant américain de la frite surgelée prend avec lui tout son relief : « La démocratie, c’est ceux qui en parlent le plus qui la pratiquent le moins !… »
Le bonjour vous va !